MOLWICK

Philosophie du temps

Le concept de temps normal et abstrait est absolu. La définition d'une seconde qui ne devrait pas dépendre des variations de l'horloge dues à des conditions différentes ou de simples erreurs.

Couverture du PDF de L'Equation de l'Amour. Vase avec des roses rouges sur une table noire.

L'EQUATION DE L'AMOUR

METAPHYSIQUE GLOBALE

Auteur: José Tiberius

Technical assistant:
Susan Sedge, Physics PhD from QMUL

 

 

2. PHILOSOPHIE DU TEMPS

2.a) Concepts de temps classique

2.a.1. La perception subjective du temps

Le temps est un concept très philosophique car sa perception même est différente pour chacun en fonction de l’activité qui est effectuée, avec l’état d’esprit inclus. Je me souviens la dichotomie basique perception-réalité de la philosophie que tant de discussions apportent ; la plupart, à mon avis, sont totalement inutiles pour se situer hors de la logique naturelle ou supposer une impasse en soit.

Si nous nous demandons ce qu’est le temps, on s’aperçoit en premier que le concept de temps se trouve très lié à celui de la vie elle-même, il est difficile de s’imaginer la vie sans l’existence du temps, où situerions l’origine de la vie dans ce cas ?

Le temps est une variable que notre cerveau utilise pour ordonner l'information qui arrive ou la génère, et en ce sens c'est une variable globale.

Cette acceptation du temps subjective pourrait se définir comme une de celle qu’ont les petits enfants quand ils sont si petits que le monde est « leur monde » et ils sont maîtres du temps. C’est pourquoi ils pensent que quand ils dorment, le monde les attend immobile jusqu’à ce qu’ils se réveillent et que tout doit être pareil que quand ils se sont endormis.

Il est évident que la perception subjective du temps change radicalement. Quand nous dormons, il n’existe pratiquement pas, c’est seulement quand nous rêvons que nous sommes un peu conscient du cours du temps, mais normalement, nous n’avons aucune idée de combien de temps nous avons fait un rêve en particulier.

Quand on est réveillé aussi, nous avons une perception du variable et subjective. Si on a été très occupés, on dirait que le temps passe plus vite, et au contraire quand on s’ennuie, on a l’impression que le temps ralentit.

Un autre effet similaire du fait que la vitesse du temps est produit par l’état d’esprit. Si nous sommes très contents aussi, on dirait que le temps passe très vite, alors que si on a un grand désir de voir se produire quelque chose dans le futur proche, on a l’impression que le temps s’arrête, comme s’il voulait nous conduire au contraire.

En définitive, n’importe quelle activité, qu’elle soit physique, mentale ou émotionnelle, affecte significativement la perception subjective du temps, sans que nous ayons les moyens de mesurer avec précision ses petites variations.

 

2.a.2. Le temps absolu comme concept objectif

Tous les enfants ont une étape durant laquelle ils développent le concept objectif du temps ou temps absolu pour comprendre que sont arrivées beaucoup de choses et qu’ils ne se sont rendu compte de rien. Tout simplement, ils dormaient.

Avec un caractère plus général, pour éviter la subjectivité de la perception du temps et pouvoir communiquer et reconnaitre les aspects temporels, on crée un concept abstrait qui essaye de mesurer et déterminer par des moyens indépendants de l’observateur : l’horloge.

Mesure de temps
Horloge avec des couleurs.

La principale caractéristique de ce concept, c’est d’être un temps absolu. Il ne dépend d’aucune variable externe ou interne à l’individu, c’est un concept abstrait, peut-être n’existe-t-il pas dans la réalité, mais comme concept, il est absolu et réel comme la vie elle-même.

Pour cela, tout au long de l’histoire, l’humanité est allée vers le développement de mécanismes pour mesurer le temps absolu ou objectif chaque fois plus précisément, arrivant à des résultats impressionnants par la diminution des marges d’erreurs : l’horloge atomique.

Cependant, la mesure exacte du temps absolu n’est pas possible, tout mécanisme sera inévitablement conditionné par sa propre nature, y compris les horloges atomiques. L’unique chronomètre parfait serait une horloge invisible et abstraite.

Le modèle post-newtonien de la Physique Globale maintient le temps et l'espace absolus et explique de manière satisfaisante les mêmes phénomènes que la Physique Moderne, tels que l'orbite de Mercure, et certains autres tels que la configuration électronique de l'atome ou de l'énergie et de la matière noire. Dans ses livres, comme la Physique et la Dynamique Globale, analyse en profondeur le mouvement, à la fois de la masse sur l'Ether Global et de la lumière sur l'Ether LUM (luminifère, universel et mobile) ou champ de gravité.

 
 

2.b) Définition du temps relativiste

Pour des raisons métaphysiques ou obscures, la Physique Moderne choisit une définition relative du temps en le conditionnant à sa mesure sans fixer toutes les circonstances connues qui affectent les horloges atomiques; au lieu de chercher une mesure conforme au concept absolu, intuitive et donc beaucoup plus efficace pour comprendre la réalité physique.

La définition de la seconde actuelle est la durée de 9 192 631 770 périodes de radiation correspondant à la transition entre deux des niveaux hyperfins de l’état fondamental de l’isotope 133 de l’atome de césium, dans un état et des conditions concrètes. Et la définition du mètre est la distance que parcourt la lumière dans le vide durant 299 792 458ème de seconde.

En conséquence, la définition du mètre est dérivée de la définition de la seconde. Si la durée d’une seconde change, la longueur du mètre doit changer pour maintenir la vitesse de la lumière constante, comme on l’explique dans la section sur le temps relatif du livre Théorie de la Relativité, des Eléments et de la Critique.

 

 

 

 

 

 

 

Quand Mª José eut terminé la page métaphysique,
elle demanda innocemment à Pollwick :

–Que penses-tu du rendu final ?–

Pollwick lui répondit :

–Très bien, mais je ne sais pas,
 j’ai l’impression que je vois tout en autre dimension :
Malheur à celle qui n’est pas fière de ce qu’elle est
et qui n’apprécie pas ce qu’elle n’est pas !–

Mª José, un peu déconcertée,
lui dit pour le ramener à la réalité :

J’ai un ami efféminé qui aime les vampires.

Et Pollwick continua dans son monde :

Et bien moi, je connais un gland qui a le vertige.