1.d.3. Rotation des galaxies
La rotation des galaxies –même vitesse des étoiles dans quelques galaxies– s’explique comme l’option la plus probable para la Physique Moderne pour la présence de masse qui n’a pas pu être détectée directement ; c’est pourquoi l’Astrophysique appelle cette masse matière noire.
On essaye d’expliquer de manière alternative ce phénomène naturel de la rotation des galaxies avec un minimum d’intensité du champ gravitationnel.
De son côté, l’Astrophysique Globale propose une possible solution pour expliquer les observations dans son modèle physique basée sur la contraction et l’expansion de l’Ether Global –ou le concept moins intuitif de l'espace avec des propriétés mécaniques.
A continuation, chacun des modèles ou théories en relation avec la rotation des galaxies sera approfondi.
Gravité minimum.
Il existe une proposition de gravité modifiée appelée MOND (Modified Newtonian dynamics) de Mordehai Milgrom de 1981 qui modifie la Deuxième Loi de Newton ou Loi Fondamentale de la Dynamique (Wikipédia)
La critique la plus importante qui peut être faite à propos de la gravité modifiée MOND, c’est d’être une théorie ad hoc.
Une autre critique importante serait celle d’être limitée à une modification mathématique de la Deuxième Loi de Newton sans lui donner de justification physique.
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Matière noire et rotation des galaxies.
En principe, sans le minimum gravitationnel, l’existence d’une grande quantité de matière noire serait nécessaire pour maintenir la vitesse des étoiles dans les galaxies en spirales. Selon Wikipédia, la matière noire arriverait aux 90% du total de la matière dans la majorité des galaxies.
Vitesse linéaire des étoiles dans des galaxies 
Il semblerait qu’en plus d’une grande quantité de matière noire, il faudrait aussi une étrange distribution de cette matière pour obtenir une vitesse similaire des étoiles.
Quand on dit que la NASA ou le Dark Energy Survey confirment l'existence de la matière noire comme un halo dans les galaxies, ce que l'on veut dire ou ce que l’on devrait dire c'est que les mesures de la vitesse linéaire des étoiles nécessitent de la matière noire pour être cohérente avec le modèle gravitationnel en vigueur ; mais il apparait clairement que l’on suppose qu’il s’agisse d’un effet gravitationnel de la matière obscure.
En d'autres termes ce qu'ils confirment, c'est la correction des mesures de la vitesse réalisées et non pas l'hypothèse de la matière noire. Il faut donc bien prendre en compte que le nom de la matière noire qui est utilisé pourrait être n'importe quoi.
La vitesse des étoiles proches du centre de la galaxie croît en même temps qu’augmente la distance au centre du fait que son déplacement gravitationnel classique dépend de la masse de tous les astres et pas seulement de la boule noire centrale. Une fois que cet effet disparait, la vitesse devrait diminuer de nouveau.
Astrophysique Globale et rotation des galaxies.
SYNOPSISLa masse se déplace comme un nœud coulant dans la grille d'Ether Globale -tridimensionnel des filaments élastiques.
L'énergie électromagnétique est la torsion dans la grille. Onde transversal.
Lorsque l’énergie de torsion est suffisante la masse est créée à l'intérieur d'un réticule et l'Ether Global est comprimé. Les réticules évitent les nœuds à se défaire.
Quand les étoiles perdent de la masse, elles étendent l'Ether Global.
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L'expansion ne bouge pas beaucoup les autres étoiles car leur interaction avec l'Ether Global a la relation quadratique v ^ 2 / c ^ 2 –semblable à l'énergie cinétique mais l'effet inverse–, il semble donc que l'expansion soit générée partout.
La Physique Globale n'a pas été conçue pour expliquer l'expansion de l'univers mais c'est le cas, et la matière noire n'est plus nécessaire.
Selon le dessus sur les mécanismes de l'énergie sombre dans le paragraphe précédent 1.c.2.b) L'énergie noir dans la Physique Globale pourrait être expliqué très simplement que la vitesse des étoiles de galaxies est très similaire.
Exemple simple.
Si dans l’expérience simple du globe qui se gonfle pour expliquer l’expansion de l’univers, au lieu de mettre les points sur l’extérieur du globe, on imagine qu’il y a une barre élastique sur le rayon depuis le centre vers l’extérieur et que nous y plaçons les points ; quand on gonfle le globe, les points aussi s’éloignent les uns des autres.
L’Astrophysique Globale incorpore les effets de l’expansion et de la contraction de la structure réticulaire de la matière. Leur combinaison avec les effets gravitationnels classiques peut nous rapprocher d’une explication physique de la curieuse vitesse des étoiles des galaxies en spirales.
Un élément typique dans les concepts de contraction et d’expansion de l’univers de la Mécanique Globale est l’entrainement partiel de la masse par l’Ether Global ou structure réticulaire de la matière, disant mouvement inverse dans le livre Physique et Dynamique Globale. Imaginez-vous quand un train entrainent le voyageur, cela ne signifie pas que le voyageur ne peut pas se déplacer dans le train.
Il ne faut pas confondre l’Ether Global avec le champ de gravité vu que d’un côté, on a la structure tridimensionnelle d’Ether Global et de l’autre la tension de sa courbure longitudinale. Cette tension ou champ gravitationnel peut se déplacer sans que l’Ether Global se déplace et, dans d’autres cas, il peut se passer le contraire.
Il ne faut pas non plus oublier qu’en déplaçant l’énergie électromagnétique sur la tension de la courbure longitudinale de l’Ether Global, en accord avec la Mécanique Globale, l’interprétation relativiste de l’information que nous recevons peut avoir des effets réellement intéressants sur la supposée réalité observée. Par exemple, l'expansion de l'univers n'affectera pas l'effet Doppler relativiste de la lumière par la vitesse des étoiles, et le déplacement cosmologique n'est pas non plus suffisamment clair.
Une autre façon d’exposer la proposition de l’Astrophysique Globale est avec une simple séquence d’images.
Télescope hoeilogique.
Dans la première colonne, on peut observer une galaxie avec des étoiles très proches de son centre. Dans la deuxième, on perçoit comme l’expansion de l’espace extérieur produit par les étoiles ce qui fait que la taille de la galaxie augmente. Enfin, dans la troisième image, l’espace extérieur occupé par la galaxie est beaucoup plus grand.
Ce qui est intéressant dans cette séquence d’images, c’est qu’elle montre commet l’effet d’expansion de l’univers est accumulatif pour les étoiles éloignées du centre de la galaxie. En même temps, sa vitesse linéaire sera maintenue et, par conséquent, sera supérieure à ce qu'elle aurait dans une orbite stable correspondant à son nouveau rayon selon le modèle des effets gravitationnels..
Rotation des galaxies Expansion de l'Ether Global 
On voit aussi sur la figure comment l’étoile la plus proche produit une expansion inférieure aux autres, du fait de la contraction de l’univers qui se produit surement dans les environs immédiat du centre de la galaxie, non seulement pour la boule noir supermassif qui y existerait surement mais aussi pour les multiples trous noirs qui existeraient et pour l'effet cumulatif inférieur des étoiles.
Peut-être que la comparaison entre des galaxies avec le phénomène que l’on a commenté et celles dans lesquelles il ne se produit pas, pourrait apporter de la lumière sur le thème de la matière noire. Si la proposition avancée par la Physique Globale est correcte, les galaxies dans lesquelles le phénomène ne se produit pas devraient être plus petites, contenir de nombreux trous noirs, ou moins d'étoiles. (Ce paragraphe est quelques années plus vieux ** que les prochaines nouvelles).
Il faut reconnaitre que l’expansion de l’univers provoquée par le Soleil proche de la Terre, n’est pas si puissance, peut-être qu’elle le sera quand les bulles du graphique représenteront des milliers de millions d’étoiles d’une galaxie.
Il est à noter que l'expansion de l'univers est à 70 km / s Mpc selon les estimations de l'expérience LIGO dans sa détection des ondes gravitationnelles par fusion d'étoiles à neutrons.
Le mouvement inverse précité implique que la masse soit entrainée par l’expansion d’Ether Global en fonction de la relation quadratique de sa vitesse par rapport à la vitesse de la lumière, car n’oublions pas que la lumière est totalement entrainée par le champ de gravité –Ether LUM ou tension de la courbure longitudinale d’Ether Global.
NOUVELLES DE PHYSIQUEDécouvert la première galaxie sans matière noire.
Un groupe international d'astronomes observe une étrange galaxie qui peut changer les théories sur la formation de ces groupes d'étoiles.
Mais il semble qu'il puisse y avoir des circonstances dans lesquelles les galaxies se forment sans matière noire, ajoute-t-il. “Ces galaxies super diffusés semblent être quelque chose de très spécial, qui pourrait être formé dans une région de l'univers où il y avait peu de matière noire.”
La conclusion de l'Astrophysique Globale est que l'expansion de l'Ether Global fait que la vitesse des étoiles dans les galaxies est celle correspondant à leur orbite stable initiale et supérieure à la vitesse de l'orbite de leur situation si on ne prend en compte que les effets gravitationnels.
En conséquence, les étoiles sont dans une orbite instable et ne reviendront jamais à une orbite stable.
Avec ce mécanisme, la matière sombre n’est pas nécessaire pour expliquer la rotation des galaxies ; car il n'a pas été nécessaire pour élucider l'effet de lentille gravitationnelle sans masse. En outre, il est le même mécanisme qui provoque l'expansion de l’Ether Global –ou l'expansion de l'univers.
En outre, il rappelle que ce mécanisme est implicite dans le concept de masse contribué par la Physique Globale ; utilisé à la fois dans sa nouvelle théorie de l'atome dans la Mécanique Globale et dans le développement de la théorie sur le mouvement de la Dynamique Globale.
NOUVELLES DE PHYSIQUEQuand la matière noire ne régnait pas sur l'univers.
Une analyse des galaxies datant de 10 000 millions d'années montre qu'elles étaient dominées par la matière visible. Maintenant, c'est l'obscurité qui détermine la façon dont ils se tournent.
El País 24-03-2017
D'autre part, cette théorie également configure une théorie de l'origine des étoiles, puisque toutes seront nées dans leurs orbites initiales.
Il y a une vérification expérimentale de l'expansion dans les galaxies. L'article de Wikipédia ** sur la Voie Lactée indique que ««« le bras Near 3 kpc (aussi appelé bras de 3 kpc en expansion ou simplement bras de 3 kpc) a été découvert dans les années 1950 ... Il a été constaté que le bulbe central s'étendait à plus de 50 km / s. »»»»»
Parmi les principales conséquences, nous pouvons souligner:
Des vitesses orbitales similaires signifient qu'elles naitront dans des zones à une distance similaire du centre pour chaque galaxie.
Expliquer l'existence et la formation des bras des galaxies spirales.
Il y aura une relation entre les bras et l'âge des étoiles. Dans Wikipédia, ** il est écrit: ««« En décembre 2013, les astronomes ont découvert que la distribution des jeunes étoiles et des régions de formation d'étoiles correspondait à la description en spirale à quatre bras de la Voie Lactée. Ainsi, la Voie Lactée semble avoir deux bras en spirale tels que tracés par de vieilles étoiles et quatre bras en spirale tracés par des étoiles gazeuses et jeunes. L'explication de cette divergence apparente n'est pas claire. »»»»»
L'existence de bras dans les galaxies spirales implique des lieux de formation d'étoiles intenses au début de celles-ci.
L'œuf des galaxies
Physique globale GIF animé - CC0 Creative Commons
Les différentes périodes de formation d'étoiles semblent indiquer que la masse est créée dans la zone initiale, ce qui pourrait indiquer la présence de grands champs électromagnétiques.
"The center of the Milky Way is a special place," notes Jay Lockman, an astronomer at the Green Bank Observatory in West Virginia. "At its heart is a black hole several million times more massive than the Sun and there are regions of intense star birth and explosive star destruction."
Le même argument, mais utilisé inversement, pourrait être utilisé pour la chute drastique des étoiles commençant à 40000 années-lumière du rayon de la Voie Lactée.
Nous avons effectué une analyse mathématique pour la Voie Lactée avec des résultats totalement satisfaisants, bien que nous devions prendre en compte la grande marge d'erreur existante pour diverses raisons dans certaines des données utilisées.
L'expansion calculée est de 2.50169E + 20 m, soit près de 50% du rayon de la Voie Lactée: 4.72713E + 20 m. Évidemment, nous avons fixé la valeur de certains paramètres pour obtenir un résultat aussi agréable, mais toujours dans des limites raisonnables.
Cependant, il convient de noter que l'expansion obtenue est plus conservatrice que les 50 km/s mentionnés dans l'article d'observations expérimentales cité dans Wikipédia. Ce chiffre élevé semble confirmer les idées sur le mouvement inverse, l'accélération qui produit l'expansion constante de l'univers et les orbites instables.
Les calculs sont les suivants:
EXPANSION DANS LA VOIE LACTEE a. Vitesse typique des étoiles 2,20000E+05 m/s b. Vitesse sur l’Ether Global ** 8,80000E+05 m/s c. Vitesse de la lumière 2,99792E+08 m/s d. 1 million d'années 3,15360E+13 s e. Exp. moyenne de l'univers par Mpc 7,08205E+04 m/s f. Exp. Univers dans 1 million d'années 2,23340E+18 m =d*e Paramètres d’expansion g. Mpc appliqué au VL ** 5 h. Mpc Groupe local appliqué à VL * 2 i. Mpc position étoile dans VL * 5 j. L'âge des bras des étoiles VL 13000 My k. Expansion réglable 1,45171E+24 m =f*g*h*i*j Mouvement inverse l. Accélération du entrainement * 10 m. Entrainement * 8,61636E-05 m =l*b*b/c*c n. Expansion. avec trainement 1,25084E+20 m =k*m o. Total exp. avec orbites instables en VL 2,50169E+20 m =n*2 p. Radio de VL 4,72713E+20 m * Ces éléments sont inclus conformément aux explications de la Physique Globale. Les ajustements d'expansion par l'application de l'expansion moyenne aux étoiles de la Voie Lactée et les ajustements par mouvement inverse par l'effet de l'expansion de l'univers sur le mouvement des étoiles sur l'Ether Global.
Comme en d’autres occasions, il s’agit d’une présentation très générale et renormalisable. Pour tout sauf étirer l’espace, contracter le temps ou sortir et mettre des choses dans d’autres dimensions.