MOLWICK

Dualité des particules d'onde et autres propriétés des photons

Propagation et vitesse des ondes lumineuses et équations de Maxwell. La masse et la non-masse des photons et la dualité des ondes particulaires de la lumière.

Couverture du PDF de La Mecanique Globale. Galaxy M81.

LA MECANIQUE GLOBALE

PHYSIQUE GLOBALE

Auteur: José Tiberius

Technical assistant:
Susan Sedge, Physics PhD from QMUL

 

 

2.c.2. Ether LUM (luminifère, universel et mobile) et propriétés des photons

Dans la description des étapes des ondes électromagnétiques nous avons signalé de forme indirecte quelques-unes des propriétés des ondes de lumière ou photons, selon l'interprétation de la Mécanique Quantique et de la Relativité que suppose la Physique Globale. Ainsi, on a commenté la nature duelle de la lumière ou la dualité onde-particule des ondes électromagnétiques dans le sens d’être des ondes mécaniques transversales sur l’Ether LUM (luminifère, universel et mobile) –tension longitudinale de la structure réticulaire de la matière ou Ether Global.

Une autre propriété ou caractéristique importante du mouvement de la lumière étudiée dans le livre de la Loi de la Gravité Globale est la propagation des ondes de lumière au niveau de la courbure de la lumière ou phénomène naturel de lentilles gravitationnelles, expliquée par l’effet Merlin.

Maintenant nous allons voir une autre propriété des ondes de lumière ou photon très intéressantes, car elles représentent des aspects clés dans les théories actuelles de la Physique Moderne qui sont affectée par le nouveau paradigme de la Mécanique Globale. Concrètement, les thèmes relatifs à la preuve postulée de la vitesse de la lumière, de la masse des photons et au dit comportement duel de la lumière ou dualité onde-particule de cette dernière.

La nouvelle définition du photon implique les suivantes propriétés des ondes électromagnétiques.

  • Propagation des ondes magnétiques et vitesse de la lumière constante.

    Une conséquence de la définition de la gravité et du comportement ondulatoire du photon comme onde transversale sur la tension de la courbure longitudinale d’Ether Global qu’est le camp de la gravité se configure comme milieu support de la propagation des ondes de lumière ou Ether LUM (luminifère, universel et mobile), en accord avec ce qui est avancé par la Physique Globale dans son interprétation de l’expérience de Michelson-Morley ; notamment en ce qui concerne l'entraînement de l'énergie électromagnétique en accord avec l'effet Lense-Thirring.

    Si la propagation des ondes transversales a une vitesse de propagation variable en fonction de son intensité ou fréquence dans un milieu mécanique on dit que ce milieu est dispersif et, dans le cas contraire, ce sera un milieu non dispersif. Avec cette définition, l’Ether LUM (luminifère, universel et mobile) serait un milieu non dispersif.

    Une autre propriété des ondes de lumière ou photon non moins importante est que la vitesse de propagation est précisément la vitesse de la lumière, et dans un milieu non dispersif, comme le champ de la gravité, elle ne dépend pas de l’énergie électromagnétique ou fréquence mais des paramètres de l’élasticité longitudinale ou rigidité des filaments d’Ether Global –milieu support d’Ether LUM (luminifère, universel et mobile), et indirectement de la lumière.

    Intuitivement on peut mieux assimiler les caractéristiques de la vitesse de propagation de la lumière constante en pensant que si l’on frappe deux fois les rails des voies de train, le son n’ira pas plus vite que si l’on ne frappe qu’une fois, c’est-à-dire que la vitesse de la lumière ne dépendra pas de l’énergie ou fréquence des ondes (l’exemple sert en supposant que les rails configurent un milieu non dispersif…).

    D'un autre côté, la fameuse formule postulée par Maxwell sur la vitesse de propagation des ondes de lumière en fonction de la perméabilité magnétique du vide µ0 et de la permittivité du vide (constante diélectrique) ε0 rappelle beaucoup la vitesse de propagation des ondes transversales dans les cordes qui dépend de la racine carré de la tension de la corde divisée par la tension linéaire de la corde.

    c² = 1/ µ0 ε0
    c = ( µ0 ε0)-1/2

    Il semble que Maxwell pensait à l’éther luminifère comme milieu mécanique des ondes de lumière ou photons. Une autre ironie de l’histoire de la science, car aujourd’hui on utilise assidument cette prédiction de Maxwell comme argument indiscutable en faveur de la Théorie de la Relativité, c’est comme si l’histoire de la connaissance été également écrite par les vainqueurs des batailles scientifiques.

  • Propagation des ondes magnétiques et vitesse de la lumière variable.

    En suivant la formule postulée par Maxwell sur la vitesse de propagation des ondes de lumière ou photons, d’un point de vue doctrinal, le fait que la vitesse de propagation d’une onde mécanique dans un milieu non dispersif soit une propriété des ondes de lumière et qu’elle dépende de la racine carré de la tension et de la densité a une certaine importance. Seulement pour impliquer la grande incorrection d’une grande partie de la Théorie de la Relativité, en impliquent une vitesse de la lumière variable, pour varier la tension longitudinale avec l’intensité du champ gravitationnel –Ether LUM (luminifère, universel et mobile).

    Ainsi, si le champ de gravité est le milieu support de la lumière, la vitesse de propagation des photons sera plus forte quand ce champ se déplacera dans leur direction et plus faible dans le cas contraire, vitesse mesurée dans un système de référence extérieur au dit champ gravitationnel.

     

     

  • La masse et la non masse de photons.

    La propriété des photons d’être des ondes mécaniques sur la tension longitudinale d’Ether Global –Ether LUM (luminifère, universel et mobile)– nous indique directement que les photons n’ont pas de masse.

    Cependant, par les propres mécanismes de départ, de transmission et collapse des ondes magnétiques transversales que nous avons décrites, on pourrait dire que, d'un point de vue strict, il existe une variation spatiale de la réalité matérielle ou physique due à la propriété d'élasticité de l'Ether Global.

    Le photon n’a pas de masse et ce n’est pas une particule (dans le sens matériel du terme particule) mais, comme propriété dynamique de l'Ether Global, l'énergie du photon suppose une succession de petits mouvements de différents élastocites tout au long de la propagation de l'onde de lumière.

    En d’autres termes, les photons altèrent la densité de l'Ether Global et, quand un photon est absorbé par une particule avec masse, la masse augmente aussi sa densité.

    Peut-être que c’était un paradoxe le concept de photon comme particule sans masse mais qui est capable de transmettre un moment cinétique, mais une fois expliqué, il cessera de l’être. Ce n’est ni un paradoxe ni une particule dans se significat non technique. À mon avis, la science consiste à expliquer les paradoxes, à ne pas se baser sur eux et encore moins à se délecter d’eux. Par conséquence, il est bien mieux de parler de la lumière ou photons comme propriété dynamique de l’élasticité de l'Ether Global pour être une onde mécanique transversale que d’une particule sans masse.

    D'un autre côté, comme nous l'avons vu dans le livre de la Loi de la Gravité Globale en parlant de l’atractis causa de la force de gravité, l'énergie électromagnétique est affectée par la gravité par le même mécanisme que la masse et en plus, elle est affectée doublement à cause de sa vitesse. En d'autres termes, l'énergie électromagnétique est une propriété énergétique de l'Ether Global pareillement que la masse, mais cela ne signifie pas que les photons et la masse constituent une identité depuis toutes les perspectives.

  • La dualité onde-particule de la lumière.

    Dans la partie précédente, nous venons de expliquer comment la Mécanique Globale comprend la dualité onde-corpuscule de la lumière et on a clarifié les expériences de la double fente de Young et de l’effet photoélectrique  sur l’énergie du photon. Il convient de répéter qu’une onde avançant par torsion sur un seul filament ne devrait pas produire de diffraction ni passer par deux fentes. Cependant, les filaments font partie de l'Ether Global et un photon en réalité est formé par un ensemble de filaments affectés.

    L’électron, quand il disparait pour changer de niveau orbital, affectera beaucoup de filaments de l'Ether Global jusqu’à réapparaitre dans un autre niveau.

    Ainsi, le jeu de force fera en sorte que l’impulsion soit transmise au travers des élastocites en forme d’éventail jusqu’à une certaine amplitude en direction de l’avancée pour chacun des réticule de l'Ether Global. Cette caractéristique ou propriété des ondes de lumière ou photons expliquera le comportement ondulatoire de la lumière dans l’expérience de Young.

    Ether LUM Propagation d'un photon
    Dessin de la propagation d'un photon à travers l'Ether LUM (luminifère, universel et mobile)

    Un problème différent de celui de la dualité onde particule des photons est l’expérience de la fente de Young avec des électrons, mais nous traiterons ce thème en expliquant ce que sont les électrons et comment ils se déplacent.

    Un exemple encourageant est de voir sur Wikipédia comment la Théorie Quantique résout le paradoxe de l’expérience des fentes Young quand les photons sont émis un par un. Ils proposent que les fonctions de probabilité pour trouver une particule au niveau d’un point déterminé interfèrent entre elles. Entendu pour dire que les fonctions représentent des ondes desquelles elles ne sont pas conscientes, mais qu’une fonction mathématique ait des effets réels c’est seulement possible dans le monde de la Théorie Quantique. Pardon, dans le monde de la Théorie de la Relativité, cela arrive aussi avec le concept de la gravité comme effet géométrique de l’espace-temps.

Je dis que c’est encourageant pour un double motif, parce qu’on note que la Mécanique Quantique dispose d’une partie mathématique impressionnante adaptée aux propriétés des photons de la réalité physique, par conséquence elle pourra surement calculer avec une grande précision la taille du réticule, des élastocites et des autres idées dérivées.

Le second motif est que la justification logique brille par son absence à de nombreuses occasions, laissant un espace évident aux théories physiques nouvelles comme la Mécanique Globale.