MOLWICK

Définition du second dans la théorie de la relativité

Il est important de comprendre que les mots seconde, mètre et vitesse sont des concepts très différents en physique moderne et en usage normal, même s'ils n'ont pas d'effets appréciables sur la vie quotidienne.

Couverture du livre Théorie de la Relativité, Eléments et Critique. Illustration de voilier dans la mer pourpre.

THEORIE DE LA RELATIVITE, ELEMENTS ET CRITIQUE

METAPHYSIQUE GLOBALE

Auteur: José Tiberius

Technical assistant:
Susan Sedge, Physics PhD from QMUL

 

 
 

2.b.5. Concept du temps relativiste

La Théorie de la Relativité Spéciale d'Albert Einstein –RS– nous offre un concept du temps complètement différent, il ne ressemble ni à l'objectif ni au subjectif des concepts de temps classiques. Il s’agit d’une définition dérivée d'un axiome mathématique.

La définition de la seconde actuelle est la durée de 9 192 631 770 périodes de radiation correspondant à la transition entre deux des niveaux hyperfins de l'état fondamental de l'isotope 133 de l'atome de césium, dans un état et des conditions concrètes. Et la définition du mètre est la distance que parcourt la lumière dans le vide durant 299 792 458ème de seconde.

En conséquence, la définition du mètre est dérivée de la définition de la seconde. Si la durée d'une seconde change, la longueur du mètre doit changer pour maintenir la vitesse de la lumière constante.

Il faut seulement savoir que la gravité et la vitesse conventionnelle, pour changer les palpitations de l'atome de césium, affecte la « durée de la seconde » pour se rendre compte que le temps relativiste est immergé dans la propre définition actuelle de son unité dans le Système International des Unités (SI) qui date de 1967.

Le temps est relatif avec la Théorie Spéciale de la Relativité de 1905 et plus tard avec la Théorie de la Relativité Générale –RG– de 1916. Cependant, la seconde affecte le temps pour établir une équivalence de la gravité avec l'accélération et, par conséquent, avec les supposés effets temporels du mouvement dans la RS.

Mathématiquement, la RS dilate le temps et contacte l'espace alors que la RG, en plus, courbe les deux pour affecter les axes des dimensions.

Horloge brûlante
Une montre en flammes pourrait mesurer le temps différemment. © Can Stock Photo Inc.

Comme on l'expliquera plus loin, le temps relatif qui se détecte également dans les horloges atomiques est dû à un erreur de mesure, pour correspondre à une erreur dans la définition même de la seconde, qui s’adapte parfaitement à la théorie dominante en 1967.

En d'autres termes, la cesiane (de l'atome de césium et pas de Jules César), définition de la seconde de 1967 configure un temps relatif parce que le césium se voit directement affecté par les changements de la gravité et de la vitesse. Si dans ladite définition se fixaient les conditions de gravité et de vitesse, alors la Théorie de la Relativité cesserait d'être formellement correcte. Facile ! Ne pas ?

Curieusement, d'autres conditions sont fixées, comme la température :)

Le nouveau concept dérive fondamentalement, comme la Théorie de la Relativité, de l'application des formules mathématiques dans l'explication qui se fit après l'échec de l'objectif prévu de l'expérience de Michelson-Morley, en concret, des équations de Lorentz.

Dans ces expériences-là, selon les hypothèses avancées, la lumière parcourt des distances inégales dans le même temps. Pour l'axiome adopté de la vitesse de la lumière, maximale et constante, selon les positions relativistes, l'unique alternative reste de relativiser le temps.

Cette affirmation se dénomme le postulat de la Théorie de la relativité Spéciale, je suppose que pour occulter son indubitable concept d’axiome, à priori. En effet, son second postulat dit : ««« La vitesse de la lumière dans l’espace libre à la même valeur pour tous les observateurs, indépendamment de son état de mouvement. »»»»»

Tout cela suppose une contradiction quant à la manière dont il existe "en même temps" plusieurs "temps" en fonction de la vitesse (espace / temps) et de l'observateur (le système de référence serait plus clair). Je dirais que dans chaque référentiel l'horloge est affectée par des conditions différentes, mais il se peut que je ne comprenne pas très bien cette théorie ou, ce qui est pareil, il n'y a qu'un seul system référentiel naturel.

Naturellement, avec l'espace arrive exactement la même chose qu’avec le temps relativiste, vu que mathématiquement aussi on a besoin de l'altérer pour pouvoir maintenir l'axiome de la vitesse constante.

Si quelqu’un a un doute sur ce qu’il vient de lire, il le perdra si il lit attentivement la définition du mètre.

Heureusement qu’il y a seulement deux postulats et que, au moins, ils déclarent quelque chose constant !

Or, il y a eu d'autres éléments utilisés par Einstein pour établir la Théorie de la Relativité Spéciale.

Parmi eux, on peut citer :

  • Les équations de Maxwell d'électromagnétisme qui ont permis un calcul plus précis de la vitesse de la lumière et signalaient une vitesse maximum de la lumière.

  • Les équations de Lorentz qui ont ajouté une certaine complexité mathématique et ont assuré que la vitesse de la lumière fut toujours la même, grâce à la transformé opportune au cas où elle ne le fut pas.

  • La masse relativiste jointe à la transformation masse énergie de la célèbre équation E=mc² qui sont des effets réels. Formule originale d'Olinto de Pretto.

  • De curieuses références à la subjectivité du temps, comme le cas des amoureux. Métaphysique pure!

  • Des exemples artificiels sur des situations impossibles, comme le paradoxe des jumeaux, une horloge de miroir dans une navette spatial et les limites de la simultanéité dues à la perception comme le cas des wagons d'un train rempli de travailleurs.

Dépassant un peu la confusion existante, nous pouvons dire que le temps et la vitesse d'une petite balle ou particule dépend non seulement du point d'où se réalisent les mesures mais de sa vitesse. C’est-à-dire qu’une balle peut voyager avec différentes vitesse temporelles simultanément et tous sont si tranquilles !

En définitive, suffisamment de choses étranges peuvent arriver et arrivent comme la conséquence d'une excessive influence philosophique et mathématique dans la physique relativiste.

Que je sache, d'un point de vue objectif, on n’a pas encore voyagé dans le temps et aucun objet n’est apparu ou a disparu d'un coup pour avoir une vitesse temporelle distincte, bien qu’il y ait déjà une branche de la Mécanique Quantique qui postule que les photons voyagent constamment vers l'avant et vers l'arrière dans le temps et que cela se nomme Interprétation Transactionnelle.

Une faiblesse importante de la physique relativiste est qu’elle n’explique pas quels mécanismes affectent les horloges atomiques dans une navette spatiale pour que celles-ci se désynchronisent par rapport à leurs sœurs de la Terre et, naturellement, il n’est pas reconnu qu’il s’agit d'une erreur de mesure.

Ce qui est sûr, c’est que le changement de la mesure du temps relatif coïncide avec les prédictions mathématiques mais ceci n’empêche pas que selon la Physique Moderne, les montres s’altèrent par l'art de la magie. Métaphysique pure!

Intéressant ! Une erreur de mesure qui coïncide avec la théorie. Ou mieux encore, une théorie qui coïncide avec la réalité parce qu’elle a été conçue dans ce but, ad hoc, sautant le sentiment commun et avec adaptation de la philosophie des sciences avec le Cercle de Vienne pour pouvoir être bénie par la méthode scientifique.

 

 

 

 

 

 

Quand Mª José eut terminé la page métaphysique,
elle demanda innocemment à Pollwick :

–Que penses-tu du rendu final ?–

Pollwick lui répondit :

–Très bien, mais je ne sais pas,
 j’ai l’impression que je vois tout en autre dimension :
Malheur à celle qui n’est pas fière de ce qu’elle est
et qui n’apprécie pas ce qu’elle n’est pas !–

Mª José, un peu déconcertée,
lui dit pour le ramener à la réalité :

J’ai un ami efféminé qui aime les vampires.

Et Pollwick continua dans son monde :

Et bien moi, je connais un gland qui a le vertige.